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20/05/2006

Vos commentaires sur "Fabriquer le futur"

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Commentaires

Ce livre ne manque pas de qualité, la plus grande étant sans doute la prise de conscience d'une prise en compte croissante de la dimension de l'imaginaire humain dans les processus industriels de créations de produits et services (avec la richesse des témoignages). On aurait aimé cependant en savoir plus sur les imaginaires eux-mêmes : qu'est-ce qui fait et fera réver la société dans les prochaines années ? Certaines questions, fondamentales à mon sens ne sont pas non plus posées, ou très peu abordées : y a t'il de bons et de mauvais imaginaires ? Comment repérer les imaginaires "durables" qui ne font pas de torts à moyen ou long termes à la société (que l'on pense à l'imaginaire de la science mécaniste toute puissante dès le 19 siècle, ou de l'automobile reine au 20 siecle...). Pourquoi aussi ne citer aussi que les grands groupes ? Les produits vraiment "disrupteurs" ne sont pas leur apanage : que l'on songe par exemple aux cosmétiques dites naturelles (qui ont récemment l'actualité), imaginées et créées par de toutes petites sociétés... Un bravo particulier à Eric Seulliet (que je connais et apprécie) pour son approche plus pragmatique et moins théorique.

Sauveur Fernandez
Consultant en communication responsable et écoprospective. www.econovateur.com

Écrit par : Sauveur Fernandez | 22/05/2006

Merci du commentaire et de la critique éclairée.

Les suggestions sont justes. J'ai d'ailleurs prévu de les mettre au centre de mon prochain livre...

Écrit par : Eric | 22/05/2006

Ce livre est un ouvrage majeur en matière d'innovation car il apporte une vision vraiment nouvelle : celle d'une innovation basée sur l'imaginaire. Pour les auteurs, celui-ci s'appréhende à partir d'une connivence profonde avec les consommateurs (pris dans leur globalité). Ils réhabilitent les notions d'intuition, de désirs, de rêves et présentent des concepts nouveaux mais aussi des méthodes pratiques illustrées par de très nombreux exemples.

Écrit par : Olivier Zara | 24/05/2006

Après divers apports généraux, la 3è partie de Fabriquer le futur propose un feu d’artifice de témoignages concis et percutants. Dans des contextes très variés, tous ces acteurs s’emploient à construire l’avenir, chacun à sa manière. La compilation est intéressante à la fois par sa diversité et par son unité.
La diversité est celle des situations, des approches, des expériences : selon leur taille, leur secteur d'activité, leurs analyses ou leurs intentions stratégiques, les entreprises et institutions ont recours à tout un éventail de pratiques ; il n’y a pas "la" voie qui s’impose ; de plus, cette présentation en manteau d’arlequin stimule la pensée associative, elle-même à la base de toute créativité...
Parallèlement, une impression d’unité ressort de ce foisonnement, en raison d'une référence commune, plus ou moins explicite, à un avenir en rupture. Car cette rupture impose un autre regard d'autant plus "décalé" qu'il porte sur un monde dont il nous manque des clés - d'où la place accordée à un imaginaire qui, il y a peu, était encore traité comme le mérite tout ce qui n'est pas sérieux. La réhabilitation du cerveau droit progresse à grands pas !

Écrit par : Jean-Pierre Quentin | 29/05/2006

« Fabriquer le futur » est rédigé par trois profils différents mais complémentaires, à l’instar du thème défendu tout au long de l’ouvrage : la nécessité pour bien innover d’avoir recours à l’imaginaire et d’adopter une méthodologie transversale, en s’inspirant de tous les secteurs et de tous les domaines, y compris artistiques. Une démarche d’ailleurs revendiquée par plus d’une centaine de responsables de firmes françaises ou étrangères, interrogées par Eric Seuillet dans la 3ème partie du livre. Démonstration par l’exemple, voire l’exemplarité au regard des résultats des sociétés impliquées, que la conception du futur s’inscrit forcément dans le présent. Démonstration probante aussi que c’est seulement en sortant des ornières du conformisme et de la frileuse sectorisation de la pensée que l’on acquiert la liberté d’emmener ses projets dans des directions nouvelles. Démonstration enfin que l’innovation ne saurait être seulement une finalité, mais qu’elle doit avant tout reposer sur une intention sincère, donc sur une réflexion et sur une méthodologie étayées.

Écrit par : Jérôme Alberola | 29/05/2006

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