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24/09/2005

Citation sur le futur par Steve Jobs

Extrait du discours de Steve Jobs, fondateur d'Apple, aux étudiants de Stanford lors de leur remise de diplôme, le 15 juin 2005. Source : Challenges du 22-28 septembre 2005.

"On ne peut prévoir l’incidence qu’auront certains événements dans le futur ; c’est après coup seulement qu’apparaissent les liens. Vous pouvez seulement espérer qu’ils joueront un rôle dans votre avenir. L’essentiel est de croire en quelque chose – votre destin, votre vie, votre karma, peu importe. Cette attitude a toujours marché pour moi, et elle a régi ma vie. ../..

Parfois, la vie vous flanque un bon coup sur la tête. Ne vous laissez pas abattre. Je suis convaincu que c’est mon amour pour ce que je faisais qui m’a permis de continuer. Il faut savoir découvrir ce que l’on aime et qui l’on aime. Le travail occupe une grande partie de l’existence, et la seule manière d’être pleinement satisfait est d’apprécier ce que l’on fait. Sinon, continuez à chercher. Ne baissez pas les bras. C’est comme en amour, vous saurez quand vous aurez trouvé. Et toute relation réussie s’améliore avec le temps. Alors, continuez à chercher jusqu’à ce que vous trouviez."

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21/09/2005

Mise en ligne du blog du Club des Vigilants

Nous avons le plaisir de vous annoncer la mise en ligne du blog du Club des Vigilants, think tank de prospective dont e-Mergences est partenaire.

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Le Club des Vigilants a cinq ans. Ses fondateurs partaient tous d’un seul et même principe : personne ne peut prédire l’avenir mais quiconque s’enferme dans une spécialité est pratiquement sûr de se tromper. Plus précisément la création du Club découle d’un constat suivi d’une question puis d’une méthode.

Constat : des certitudes anciennes se désagrègent ; des certitudes nouvelles n’ont pas encore pris corps ; cette période de mutation peut accoucher du meilleur ou du pire.

Question : comment cartographier l’océan de l’avenir ? Où sont les récifs ? Où sont les passages ? Comment, pour nous-mêmes et pour nos enfants, identifier les risques, les incertitudes, les opportunités ?

Méthode : dans un monde où les changements technologiques, politiques, économiques, culturels, sociaux interagissent, la spécialisation est forcément un handicap. Il faut que les prévisions, les espoirs, les craintes et les doutes des uns et des autres puissent être comparés. Quelques amis ont commencé par croiser leurs expériences personnelles dans un cadre indépendant de toute formation politique et de tout groupement d’intérêts. Peu à peu, le cercle s’est élargi. De la diversité des préoccupations est née une sorte de vigilance collective. Nous voulons maintenant ouvrir, grâce à ce Blog, un terrain neutre où des gens de qualité pourront amorcer un dialogue. Notre souhait est que nos « Alertes » suscitent vos réactions, ouvrent des pistes, soulignent des risques, signalent des opportunités. Si un scientifique répond à un financier, un financier à un agriculteur, un Chinois à un Français, tant mieux ! Les boussoles d’aujourd’hui doivent avoir plusieurs Nord.

Blog du Club des Vigilants

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19/09/2005

Université de la Terre, samedi 19 novembre 2005 à l'UNESCO

 

Créée à l'initiative de François Lemarchand, Président-fondateur de Nature & Découvertes, en partenariat avec le groupe Les Échos, l'Université de la Terre a pour objectif de proposer à un public impliqué, une journée de rencontre et d'échange sur des grands thèmes d'environnement et d'écologie.

Programmée chaque année, l'Université de la Terre souhaite être un véritable forum d'échanges : ainsi, pour la première fois, vont se rencontrer experts écologistes, scientifiques et décideurs économiques.
Au travers de la confrontation de leurs idées, entre eux et avec le public qui participera aux discussions initiées lors de ces grands débats, ils chercheront à construire une plate-forme qui (ré)concilierait leurs intérêts respectifs au profit du mieux-vivre des hommes dans la préservation des équilibres écologiques
.
Cette rencontre doit être l'occasion d'apporter des réponses aux questions qui surgissent, d'expliquer pour mieux comprendre et d'envisager demain sous de nouveaux auspices.

 Site de l'Université de la Terre

Aleph recrute un chargé de mission confirmé

Aleph est un groupe de projet consacré à la prospective et jouant le rôle d'un centre de ressources (conseil, ingénierie, veille) auprès des autres groupes et services du Plan.

Ses activités se scindent en deux catégories :

- d'une part des missions transversales, destinées à diffuser les méthodes et résultats de la prospective ;

- d'autre part des missions thématiques privilégiant trois directions : comparaison internationale, prospective de l'Etat stratège, prospective globale de la société française à l'horizon 2025.

PROFIL :

- Formation : détenteur d'un DEA, d'un DESS, d'un doctorat ou d'un diplôme de grande école.

- Expérience professionnelle : le candidat a au moins 5 ans d'expérience, dans les domaines des sciences politiques, économiques et sociales, avec un intérêt marqué pour la prospective dont témoignent ses travaux et ses publications.

QUALITES ET COMPETENCES :

- Bonne connaissance de la prospective (histoire, auteurs, concepts, démarche, publications françaises comme étrangères) et bonne maîtrise de ses principales méthodes.

- Bonne connaissance des sociétés contemporaines et de leurs évolutions, ainsi que des institutions politiques et administratives tant françaises qu'étrangères. Bonne compréhension des enjeux sur ces sujets.

- Liberté d'esprit et d'expression, facilités rédactionnelles.

- Capacités relationnelles élevées, sens du travail en équipe et goût pour les animations et exposés oraux.

- Adaptabilité permettant de répondre à des commandes et de réaliser des travaux en temps limité.

- Langues : français courant et bonne pratique de l'anglais, à l'écrit comme à l'oral. La connaissance d'une troisième langue serait un plus.

DESCRIPTION DU POSTE :

- Le titulaire participera aux différents travaux de prospective menés au Commissariat général du Plan.

- En tant que membre d'Aleph, diverses activités devront être menées : veille et recueil d'informations, suivi des publications prospectives, capitalisation et synthèse, appuis méthodologiques et conseils aux autres groupes, rédaction de documents, monographies de pays, collaborations externes, réflexions prospectives proprement dites. Sa principale tâche consistera à accompagner le travail des groupes de projet.

- Dans le cadre des ses missions, le titulaire entretiendra de nombreux contacts avec les autres chargés de mission du Plan et avec les institutions partenaires. Il pourra participer à des colloques ou rencontres scientifiques et ses travaux pourront être publiés.

- Les thèmes et sujets abordés ont vocation à évoluer en fonction de l'activité du Plan.

CONTRAT :

- CDD de 3 ans, à temps plein.

Dépôt des candidatures par mél ou courrier avant le 21 octobre 2005.

CONTACT :

Bruno Hérault

01 45 56 51 68

bruno.herault@plan.gouv.fr

Commissariat général du Plan

18, rue de Martignac

75700 PARIS Cedex 07

22:17 Publié dans Prospective | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Prospective

16/09/2005

Women's Forum for the Economy & Society - Deauville, du 13 au 15 octobre 2005

« Le futur passe aussi par la vision des femmes », tel est le slogan de ce nouveau forum qui se tiendra à Deauville du 13 au 15 octobre prochain.

Extrait du site :
Le Women’s Forum for the Economy and Society est un lieu de débat, de partage, de réflexion et d’action qui donne la parole aux femmes sur tous les grands enjeux, actuels et futurs, de nos sociétés. Parce que les opinions, les idées des femmes et leurs solutions sont complémentaires de celles des hommes et doivent y être associées, l’expression de leur point de vue peut et doit contribuer à la définition de grandes voies d’amélioration, pour le monde de demain.C’est une tribune d’expression, un lieu de réflexion et d’échange pour les femmes et les hommes, de toutes générations et de tous horizons. Ce Forum, apolitique et indépendant, est sous-tendu par une ambition : promouvoir la vision des femmes sur les sujets économiques et sociétaux qui sont au coeur des préoccupations de notre époque.

Voir le site du Forum 

15/09/2005

Rencontres i - Festival des imaginaires, Grenoble du 14 au 26 novembre 2005

Les Rencontres-i sont un lieu d'expérimentation, d'échange, de réflexion et de confrontation des imaginaires. Initiées par l'Hexagone, scène nationale de Meylan en 2002, elles donnent jour à un troisième festival en novembre 2005.
Les Rencontres-i tentent de réunir et croiser des partenaires et des publics du monde de l'art, de la recherche scientifique et de l'entreprise, soient des milieux représentatifs de la population de l'agglomération grenobloise.

Le festival des imaginaires :
Tenter de partager une expérience, tenter le dialogue avec autrui, tenter de regarder le monde autrement, de façon moins sectorisée, moins cloisonnée, avec d'autres codes de lectures avec de nouveaux points de vue : telle est l'ambition de ces 15 journées de spectacles, rencontres, ateliers, séminaires et autres rendez-vous plus surprenants.

Les Rencontres-i sont organisées avec la complicité du Centre de Culture Scientifique Technique et Industrielle de Grenoble ainsi qu'avec de nombreux partenaires du monde de l'entreprise, de la recherche, de la création artistique, de l'université et des partenaires institutionnels.
Elles se déroulent à l'Hexagone, dans de nombreux lieux de la ville de Meylan, à Grenoble et dans l'agglomération avec des retentissements dans le parc de Chartreuse.

Ce festival donne lieu à des commandes de créations, des spectacles mais aussi des séminaires, des ateliers de danse, de cirque, de photographie, des ateliers de paroles et d'autres activités hors norme.

Il sollicite le public en tant que spectateur mais aussi en tant que participant actif. Il est résolument ouvert à tous les publics.

Voir le programme 

Miser sur l'imprévu : management et leadership du changement émergent


Ce livre (Gualino Editeur) est consacré à la vie cachée des entreprises. Il nous fait prendre conscience de l’omniprésence, de l’importance, mais aussi de la grande richesse de l’imprévu dans leur fonctionnement et leur évolution.

Les entreprises sont, en effet, le siège d’une multitude de phénomènes « émergents » – idées, initiatives locales, projets autonomes, expérimentations diverses – qui échappent aux orientations stratégiques et aux procédures définies par les dirigeants mais qui jouent un rôle crucial dans les processus d’innovation et de renouvellement stratégique.

Ces phénomènes sont d’autant plus nécessaires que, pour toute entreprise, l’innovation et l’adaptation rapide à des conditions toujours changeantes sont devenues des priorités absolues qui rendent problématique une gestion « classique » reposant sur la prévision, la planification et le contrôle. Être ouvert à l’imprévu et être capable d’en tirer parti est maintenant un avantage concurrentiel indéniable.

Véronique Bouchard (ancienne du Boston Consulting Group) et Thierry Picq (ancien de Bossard Consultants) enseignent tous deux à l’EM Lyon. Ils aiment aborder avec pragmatisme et clarté les sujets les plus complexes et s’intéressent aux articulations entre organisation établie et initiative individuelle, changement induit et changement émergent, qu’ils abordent à partir de leur discipline première : la stratégie pour Véronique Bouchard et le management pour Thierry Picq.

 

Prospective du tourisme et des loisirs : Bilan, nouvelles tendances, innovations et perspectives à l'horizon 2006-2010. Paris, du 17 au 20 Octobre 2005

SEMAINE DU TOURISME ET DES LOISIRS
Bilan, nouvelles tendances, innovations et perspectives à l'horizon 2006-2010

 Voir le programme

Le tsunami américain et la prospective

Dans Newseuropeans, Pierre Gonod, expert en prospective, soulève à propos du cyclone Katrina la question des rapports entre la prospective et l'action politique.

Il conclut sa chronique par le souhait suivant :

"Quelle conclusion tirer de cet événement majeur ?
Pour ma part, je pense que le grand défi de la prospective et de la politique est d'articuler vision à long terme, programme à moyen terme et action à court terme. Ce qui implique une nouvelle praxéologie et de la prospective et de la politique. La réactivité peut être pensée à l'avance, les programmes à moyen terme, 3 à 5 ans, doivent être au confluent des problèmes ressentis dans le présent, et de la guidance de l'orientation générale d'un programme sociétal auto-construit avec les citoyens. Le débat sur les finalités devient l'essentiel, l'Homme et l'Humanité, et donc l' « Anthropos », le centre et la raison d'être. D'où le projet en cours d'élaboration de la "Prospective Anthropolitique".
La vision du leader est de plus en plus nécessaire, mais elle n'est pas sans danger. Ainsi Lénine avait la vision que la révolution bolchevik allait embraser le prolétariat mondial et qu'il s'ensuivrait une série de révolutions en Europe. Il y eut bien des tentatives en Allemagne, en Autriche et en Hongrie, mais ce furent des feux de paille, qui conduisirent à construire le socialisme dans un seul pays, improviser des replis stratégiques avec la Nouvelle Politique Economique (NEP), notamment…et à la dérive tragique de l'URSS.

Aujourd'hui la vision doit être partagée, citoyenne, participative, ce qui soulève la question des rapports entre démocratie représentative et participative, et permet avec Hugues de Jouvenel d'y répondre : "… un débat s'est instauré entre les tenants de la prospective au service du prince vs. les tenants de la prospective du peuple. Vrai sujet au demeurant. Nous avons, en fait, besoin des trois : une prospective au service des décisions, d'une prospective comme culture politique citoyenne, et d'une prospective au sein des instances parlementaires, là où, théoriquement, s'exerce vis-à-vis de l'exécutif, un contre-pouvoir qui n'est point celui de la rue mais celui de représentants du peuple démocratiquement élus".

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14/09/2005

3ème Forum Sapience - Sciences & Défis du XXIème siècle, Grasse 30 septembre et 1er octobre 2005

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Colloque international "Arts, entreprises et technologies", Nice - 24 au 26 novembre 2005

Ce colloque, dont le programme a été conçu par Norbert Hillaire, professeur à l’Université de Nice - Sophia Antipolis, entend rapprocher les acteurs de trois mondes : le monde de l’art, le monde de l’entreprise, le monde des technologies et des industries du numérique, dans le contexte des débats ouverts à propos du développement industriel et culturel de l’Europe.

1/ L’entreprise aujourd’hui ne cesse de se porter au-delà des frontières qui la cantonnaient à l’univers de la rationalité gestionnaire, et dans un monde en mutation rapide, elle se doit d’inventer, de créer, d’innover. La « plasticité » de l’artiste devrait-elle dès lors être appelée à la rescousse d’une entreprise sommée de « créer » ?

2/ D’un autre côté, l’art, de la première modernité jusqu’à nous, n’a cessé de se porter au-delà des frontières qui lui assignaient une place fixe et une fonction simplement décorative sur les murs du collectionneur ou les cimaises du musée. L’art a voulu aller vers la vie même et se porter à la rencontre des autres systèmes symboliques ou sociaux : systèmes des médias et des industries de l’imaginaire (avec un artiste comme Andy Warhol et le Pop art), système de la ville et de l’espace public (avec les arts de l’environnement, et des artistes comme Christo, ou encore Beuys, et son idée d’un art conçu comme sculpture sociale), système technoscientifique (avec les arts du numérique), et même système économique (avec l’économic’s art, ou les expériences d’artistes entrepreneurs qui se multiplient aujourd’hui, sans compter les collaborations directes entre artistes et entrepreneurs).

3/ Enfin, La guerre économique se mène aujourd'hui dans le champ culturel et esthétique. C'est en effet par la culture que l'on modèle les goûts et les comportements des consommateurs. Ainsi, la part de l’imaginaire va croissant dans les produits que nous consommons et échangeons et la culture est devenue un enjeu industriel et marchand considérable, plaçant l’esthétique au cœur même de l’économie de marché actuelle.

Si ces trois paradigmes font l’objet de très nombreuses recherches, et constituent même des champs de recherche spécifiques et structurés, ils n’ont jamais été, à notre connaissance, articulés dans une approche interdisciplinaire – alors même que la nécessité de cette articulation s’impose à l’évidence.
Il ne s ’agit pas de brouiller les frontières et de confondre artistes, chercheurs, industriels et entrepreneurs dans une même « œuvre » collective où les rôles seraient interchangeables : mais il s’agit de se demander comment les frontières se déplacent et invitent à repenser les relations entre l’art et l’entreprise dans une économie de marché numérisée, fonctionnant en réseau, et reposant sur l’échange des signes, des symboles et des images autant que des biens et des services. Pour ce faire, nous avons décidé d’inviter non seulement des spécialistes des trois domaines disciplinaires concernés, mais aussi des artistes et des entrepreneurs, et de croiser leurs compétences au service d’une approche innovante de l’entreprise, de l’art et du développement culturel et industriel.

Texte de N. Hillaire

Voir le site du colloque

02/09/2005

Technikart futur

A découvrir, le numéro spécial Technikart Futur

 

 

 

 

A découvrir : l'interview du prospectiviste Paul Laudicina dans l'Expansion de septembre 2005

Paul Laudicina, est le fondateur du Global Business Policy Council, think tank de prospective.

Extrait de son interview publié dans le magazine l'Expansion de septembre 2005 :

Le tiers des entreprises figurant au palmarès de Fortune en 1970 n'existaient déjà plus au début des années 80. Et, au cours de la dernière décennie, 230 entreprises sur les 500 premières ont disparu. Ni leur taille, ni leur réputation n'ont été suffisantes pour garantir leur survie.

2/3 des grands patrons admettent avoir été surpris par au moins 3 événements majeurs à fort impact sur leur business au cours des 5 dernières années. Et 97 % d'entre eux reconnaissent ne disposer d'aucun système de veille pour déceler les menaces ou opportunités.

Les entreprises regardent trop souvent le monde à travers le microscope de leurs activités alors que le téléscope s'impose aussi. Les sources de profit d'une entreprise ne représentent que 20 % de sa valeur. Le reste, c'est la capacité qu'on lui attribue de valoriser les grandes tendances de long terme.

Lire l'intégralité de l'interview

31/08/2005

Assises de la prospective aéroportuaire, à Nice, les 15 et 16 septembre 2005

Les jeudi 15 et vendredi 16 septembre se tiendra la 9ème édition des Assises de la Prospective Aéroportuaire au Parc Phoenix à Nice. Rendez-vous incontournable des décideurs du monde aéroportuaire, cet événement vous ouvre les portes sur les solutions et innovations technologiques qui construiront l’aéroport de demain. Au programme : ETourisme, Sûreté, CRM.

Informations et inscription

23/08/2005

Colloque Art-Emergences-Cerveau les 9/10/11 septembre à Mouans-Sartoux (06)

Chaque année au mois de Septembre, l'association Art Science Pensée organise un colloque au Château de Mouans-Sartoux réunissant des scientifiques, des créateurs, des philosophes, des universitaires et des chercheurs. Ce colloque a pour sujet de base, l'Art et le Cerveau, complété chaque année par un thème nouveau.
En 2005, les 9/10/11 septembre, le colloque aura pour thème les EMERGENCES.

Voir programme sur le site

04/08/2005

Retour vers le futur - série d'articles d'anticipation dans Le Monde

A signaler : "Retour vers le futur", une série passionnante d'articles d'anticipation dans Le Monde.

Parmi les articles déjà parus :

Mon ami robot, par Yves Eudes

Le plein d'hydrogène, par Michel Alberganti

Dans la main invisible du Net, par Yves Eudes

12/07/2005

Maison Européenne de l’Ethique et du Développement Durable

La première Maison Européenne de l’Ethique et du Développement Durable (MEEDD*) ouvrira en octobre 2005 et sera inaugurée en novembre 2005.

Cette Maison devient le premier maillon d’un réseau d’établissements similaires prévu dans les principales capitales européennes, dès 2006 : la France, appuyée par l’Union européenne, possède le privilège et l’exclusivité de réussir ce site pilote.
Située dans un site prestigieux et déjà chargé d’histoire, la MEEDD s'installe sur les lieux précédemment occupés par « Sources d’Europe » sous l’Arche de la Défense, au cœur du premier quartier d’affaires et de commerces européen, visité chaque jour par plus de 350 000 personnes, franciliens, provinciaux mais aussi étrangers.

Les entreprises ont actuellement l'opportunité de s'associer à ce projet en devenant fondateur ou partenaire.

Pour tous renseignements, contactez
Eric Seulliet, E-Mergences.

* Lieu d’échange, de communication et d’information, la MEEDD se dote d’une structure pour organiser les animations, les expositions et les formations pour le grand public, les associations et les entreprises. Son auditorium, ses halls d’exposition et ses salles de réunion peuvent vous accueillir. Des services tels que la restauration et les boutiques du commerce équitable complètent l’attrait de ce lieu, votre lieu.

Présentation de la MEED

10/07/2005

Gouvernance ou leadership ? Par Angela Minzoni-Déroche, Conseiller de synthèse*


En 1969, le quinzième - et dernier - cahier de prospective du Centre d’études prospectives attirait notre regard sur la « grande maladie » du futur : l’encombrement. Nous sommes à l’aube de ce qui était le futur en 1969 et, par plusieurs aspects, nous pouvons bien dire que la maladie est déjà là. L’obésité ne nous guette plus, elle est installée non seulement dans les corps mais aussi dans nos esprits. Dans nos organisations dites horizontales ou matricielles où la prise de pouvoir est d’autant plus subtile qu’elle est diversifiée, dans l’accroissement exponentiel des modèles dont la longévité ne dépasse pas celle des roses, la prolifération aussi peu maîtrisée que les vagues meurtrières et la légitimité aussi ténue que les couleurs des peintres impressionnistes, dans les lieux de consommation, etc ….

Il y en a trop, nous en sommes tous d’accord, mais il n’y en a pas encore assez. Cette phrase n’est pas un remède à la maladie de l’encombrement, elle ne fait que faciliter la circulation, elle pose des frontières, elle incite à accepter l’existence de contradictions et la nécessité de les trier. Aussi les concepts de leadership et de gouvernance figurent-ils dans les top five qui, sur le ring des concepts, se livrent un match sournois. Tous les deux sont utilisés en politique, en finance, en organisation, en éducation et recherche, en stratégie, le premier, d’ailleurs, depuis bien plus longtemps que le deuxième…

Si nous tentons de retenir deux définitions, nous pourrions dire que le leadership, le vrai, l’essentiel, est celui qui provient de l’intérieur du visionnaire, issu d’un effort de synthèse de tout ce qu’il a vécu, pensé, ressenti et produit. Issu de la capacité du leader à non seulement connaître ses fantasmes personnels - qui sont certes susceptibles d’être une source d’énergie - mais à les transformer en imagination, force qui dépasse la personne pour être partagée par les individus de son époque. W. Taylor, Coco Chanel ou le mahatma Gandhi en sont quelques exemples.

Puis, il y a le leadership moins essentiel, de surface, banalisé, celui que les marques revendiquent tous les mois, que les chefs de projet s’arrachent tour à tour, que certains managers regrettent d’avoir perdu, qui trouve sa source dans les rapports de force immédiats et capricieux, c’est un leadership opportuniste, où seules les micro - contraintes extérieures guident l’action qui devient agitation. La liste d’exemples, ici, serait trop longue…

En ce qui concerne la gouvernance, c’est un mot qui, tout comme leadership a fait fortune et là aussi, on pourrait déceler deux gouvernances : celle qui incarne une utopie, qui ne s’impose pas par la force militaire ou économique, qui vise le maintien dans la durée de la cohésion, que les experts appellent « gouvernance hétérarchique », multipolaire, où les gouvernés sont, dans les aspects qui les concernent, des co-gouverneurs. L’autre gouvernance est issue d’un constat de crise de la gouvernabilité, de méfiance collective, d’une envie de contrôler, de poser des cadres et des procédures pour endiguer les risques - et les scandales –financiers mais aussi d’ordre moral.

Cette gouvernance-ci, difficile à vivre, n’est qu’une méthode de management parmi tant d’autres, prône l’ordre mondial et envisage sans pâlir l’existence d’un seul grand ordonnateur ; elle bute devant le problème majeur de ne pas réussir à faire la synthèse d’objectifs contradictoires, de ne pas comprendre que la coopération est tout aussi fructueuse, voire davantage, que le compétition. Elle appelle à la rescousse le leadership de l’immédiat pour s’imposer par la force, quelle qu’elle soit. Certains y voient les préludes de la post-démocratie… ne s’agirait-il pas d’un retour à la pré-démocratie, avancées technologiques en prime ?

A la différence du leadership, la gouvernance ne semble s’appliquer pour le moment qu’aux très grands ensembles perçus comme étant ingouvernables vu le nombre de logiques et d’influences contradictoires qui sont à l’œuvre. Quand l’ensemble est devenu trop grand pour les petits problèmes et trop petit pour les grands, on sait que l’heure du passage du gouvernement à la gouvernance vient de sonner. Dans une telle situation, qu’en est-il donc du leadership, pouvons-nous imaginer un quelconque leadership en gouvernance ? oui, peut-être, s’il s’agit d’avoir l’ampleur éthique et intellectuelle pour préfigurer un tel système. Oui, à nouveau, s’il s’agit du leadership venant de l’intérieur : les systèmes à gouvernance ont besoin de ce type de leaders pour l’incarner, mais très peu pourront assumer ce rôle et ils le feront dans la très longue durée, leur légitimité ne sera pas celle issue de la sélection classique. Dans ces deux cas, le match gouvernance -leadership n’aura pas lieu. Par contre, le match sera animé entre la gouvernance de la confiance et le leadership quand il s’agira du leadership de surface, celui de l’immédiat. Ce type de soi - disant leader : marque, entreprise, secteur ou manager s’épuisera à donner des coups avant de tomber, KO, hébété. Il n’aura laissé de place qu’à ses propres fantasmes identitaires, pensant que l’histoire en était arrivée aux relations de fou à fou qui, dans l’échelle du temps, auraient succédé à la relation de fort à fou qui elle même avait succédé à celle de fort à faible, mais il n’en était rien et tel l’aveugle de Breughel, il aura dirigé infailliblement ses compagnons vers la chute finale.

Contact

* Conseiller de synthèse : Inventée par le docteur André Gros en 1947, la fonction de conseil de synthèse a pour vocation d'accompagner les dirigeants d'entreprise dans la recherche d'orientations porteuses d'avenir. En termes de méthode, le conseil de synthèse, au carrefour d'approches éthiques, scientifiques, techniques et organisationnelles, transforme les données pour définir le scénario global adéquat à une situation donnée, en produire le prototype opérationnel et en garantir sa cohérence dans la durée.
Généraliste, le conseil de synthèse se pratique dans des secteurs aussi variés que l'énergie, les transports, la grande distribution, l'aéronautique, l'art, l'éducation…

06/07/2005

Avenirs de villes - Future for cities Expo à Nancy (jusqu'au 22/08/2005)

Site Alstom - 50, rue Oberlin - Nancy

Exposition d’art et d’architecture présentant les propositions d’une vingtaine d’artistes et d’architectes de divers pays et différentes générations sur la manière dont ils envisagent la ville jusqu’à l’horizon de l’an 3000.
Dans un espace emblématique de l’histoire industrielle de la Lorraine, une vingtaine de constructions simples, de pavillons, rythme l’espace en ménageant autant de salles d’exposition que de lieux de repos, de documentation ou de convivialité.
Entre maquettes, installations, films en 3D qui matérialisent ces pensées de la ville à venir, c’est une promenade enrichissante et ludique, où le rêve des futurs a largement sa place, qui est offerte au visiteur - entre Chine et Congo, Amérique du Sud et Russie, Espagne et Suède - lui permettant de rebondir sur telle ou telle proposition à travers les technologies mises en œuvre pour un dialogue permanent avec les hypothèses présentées.
En cohérence avec les grands axes du programme “Nancy 2005, le Temps des Lumières”, cette exposition consolide ainsi le jeu de miroir entre la ville du XVIIIème siècle et les villes actuelles et à venir.

Tarifs : 6 E, 4 E - Tous les jours sauf mardi de 10 h à 18 h. Fermé le 14 juillet

Télécharger le journal de l'Expo

Catalogue associé à l'Expo :

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23/06/2005

A ne pas manquer : FutureScene 2005, St Paul de Vence, 21-23 septembre 2005

Thème de ce colloque du Global Future Forum : “Preparing business for tomorrow”

In the frantic business world of 2005 the attention of most chief executives and their boards is on maintaining or improving short term results. Shareholders and commentators measure success by quarterly, half yearly and annual financial reports. Yet ask those same boards and shareholders if they want their organisations to survive, let alone prosper over the next decade, the answer is a resounding "yes". Long-term success only comes from long-term planning.

We know we live in a fast changing world - change that is accelerating all the time. But accelerating towards what? What demands will be placed on organisations in five to ten years time? How do organisations (you) prepare today, for tomorrow's success?

FutureScene 2005 will help business make sense of tomorrow's world. Led by a group of professional, business futurists delegates will be briefed on some of the key changes that will affect their businesses over the next five to ten years. They will have time (all too rare today) to consider the long-term impact on their own organisations and to outline management strategies.

The next FutureScene will be held between 21st & 23rd September 2005, please click here if you would like to attend.